jeudi 30 mars 2017

Voeu EELV et PRG pour le nom de la région

Lors de l'assemblée plénière du 27 juin 2016 ou nous avons adopté à la majorité le nouveau nom de la région (16 contre), un vœu déposé par les élus EELV et PRG est adopté, lui,  à l'unanimité. Ce vœu proposait de compléter le nom avec une référence aux territoires donc la région devenait "Nouvelle-Aquitaine" Aquitaine Limousin Poitou-Charentes. un logo provisoire faisait état de la référence aux territoires, aujourd'hui l'Aquitainisation domine y compris dans l'image institutionnelle de la région plus aucune référence aux anciens territoires à part bien sur l'Aquitaine...

mercredi 29 mars 2017

La "COM" régionale s'aquitainise aussi !


 
La nouvelle région nécessite des "dépenses transitoires" de communication. Le Président ROUSSET se félicite de la "stabilisation" de la dépense publique en précisant que le budget 2017 présente une baisse de 2 %  par rapport à son budget 2016 et surtout de 15 % par rapport à celui de 2015 (budget cumulé des 3 ex région toutes gérées par la gauche).
Dans sa réponse, on constate bien que pour cette année la communication sera centrée sur l'identité de la région Nouvelle Aquitaine pour la modique somme de 2 683 000 € auxquels s'ajoutent les anciens programmes pour 4 401 840 € soit pour 2017: 7 084 840 €. 
Tous les supports seront donc bien logotés avec la tête de lion rouge mais les noms des anciennes régions disparaissent alors que nous avons voté lors du choix du nom, l'amendement des élus du groupe EELV imposant le maintien du noms des ex région sur tous les supports.
j'ai voté contre le nom "Nouvelle Aquitaine" mais pour l'amendement d'EELV.
La Région s'appelle donc La Nouvelle Aquitaine avec le sous-titre : Aquitaine- Limousin-Poitou-Charentes sauf que depuis les élus EELV s'en souviennent plus et le Président ROUSSET ignore complétement ce vote pour "Aquitaniser" définitivement le nom de la région et faire disparaitre l'identité du limousin et du Poitou-Charentes.




 

 

mardi 28 mars 2017

Pompiers volontaires : stopper l'hémorragie !


Depuis une bonne décennie l'hémorragie de pompiers volontaires est constante et devient maintenant alarmante dans certains territoires ruraux où les secours ne partent plus faute de pompier.
L'équipement des centres de secours est globalement sur la France de très bonne qualité et répond complétement aux SDACR (Schéma Départemental d'Analyse et de Couverture du Risque) il n'en demeure pas moins que les véhicules restent coincés dans les centres faute d'y mettre des pompiers dedans. Au fil des congrès nationaux on a pu avoir de nombreuses promesses afin de mettre fin au déclin sans franchement de réussite.
on joue souvent avec les chiffres en mettant en avant que le nombre de pompiers volontaires se stabilise. Dans les  faits,  la seule catégorie à augmenter sensiblement ces effectifs est le service de santé avec la création du statut d'infirmier pompier. Leur rôle est bien particulier et s'ils sont pompiers il ne le sont pas pour lutter contre l'incendie ou pour la désincarcération des accidentés de la route ou tout autre mission en dehors du service de santé.
Comment faire ? il n'existe pas une solution mais à mon sens plusieurs et évidemment je n'ai pas LA solution mais plutôt ma contribution à la réflexion. Fort de mon expérience en unité opérationnelle comme de mes années de sapeur-pompier volontaire, je propose des pistes comme le service civique SDIS.
Lors de la dernière session j'ai demandé au conseil régional d'étendre son aide pour les services civiques aux SDIS. On pourrait créer grâce à ce dispositif,  créer des vocations à travers une expérience de service civique dans une caserne rurale, l'exécutif régional n'a pas trouvé cela utile ! c'est bien dommage car une formation ou un stage chez les pompiers peuvent déclencher des vocations.
 
Je souhaiterai que les candidats à la Présidentielle s'emparent de ce sujet car demain la désertification des services publics en milieu rural s'étendra aux centres de secours.

mardi 14 mars 2017

POURQUOI LES POMPIERS SONT EN COLÉRE


Dans ce débat présidentiel, quand il y lieu, on ne parle,  quand on parle de sécurité que des policiers et des gendarmes. Sans vouloir faire de nous des mauvais coucheurs, les sapeur-pompiers aimeraient aussi que l'on parle d'eux et surtout de leurs difficultés. En FRANCE il y a 100 départements et donc 100 manières différentes d'organiser les services "départementaux" d'incendie et de secours. Cette situation fait  que  vous n'avez pas le même service sur l'ensemble du territoire c'est en fonction de votre département qu'il soit riche ou pauvre et la baisse des dotations de l'état sous le mandat de Mr Hollande n'a fait qu'aggraver cette situation. La solution est une étatisation de l'organisation des secours avec les mêmes règles et les mêmes salaires pour tous sous une seule autorité , celle de l'état avec la nomination d'un Secrétaire d'État à la sécurité intérieure et la gestion de crise rattaché au Ministre de l'Intérieur
Aujourd'hui on est sous la hiérarchie du Préfet pour l'opérationnel mais pour la gestion humaines et financière du SDIS, le patron c'est le département !
L'État impose ses directives et les départements doivent en assumer le coût avec des dotations qui baissent c'est injuste et cela se répercute sur la qualité des secours. 
Peut être serons nous un jour entendu...
 

100000 vues !

En créant ce blog je n'aurai pas imaginé que mes publications puissent être vues de si nombreuses fois, merci à toutes et à tous  de suivre l'actualité de ma vie politique saintaise.

lundi 13 mars 2017

Beau succés du Bordeaux-Saintes ce dimanche

Les saintaises et les saintais étaient nombreux ce dimanche sur le cours National pour assister à la victoire du Lituanien de l'équipe de Bourg en Bresse, Zydrunas Savickas, pour ce 79 éme Bordeaux-Saintes. Je remercie au nom de la ville de Saintes, l'équipe du Président Bernard COUPRIE  pour cette belle organisation et ce véritable succès populaire. J'ai eu une pensée particulière hier sur le podium pour Jean-Michel ARDOUIN, Président emblématique du BSCO disparu l'année dernière. En route pour la 80 éme édition...

mercredi 8 mars 2017

Motion adoptée par le Bureau Exécutif de l’UDI


 
Motion adoptée par le Bureau Exécutif de l’UDI
Paris, le 7 mars 2017
La semaine dernière, l’UDI a légitimement décidé de suspendre sa participation à la campagne de François FILLON et d’ouvrir un débat dans nos fédérations.
Comme de très nombreux responsables « Les Républicains », l’UDI s’est interrogée sur la capacité de François Fillon de poursuivre la campagne présidentielle et a souhaité majoritairement un changement de candidat, au regard tant de ses déclarations passées que de l’emballement médiatique permanent depuis fin janvier, qui étouffe le débat de fond indispensable pour gagner l’élection présidentielle.
Nous prenons acte avec regret du renoncement d’Alain Juppé en saluant sa dignité et sa lucidité.
Nous souhaitons ardemment que les Français puissent avoir droit à un véritable débat démocratique pour éviter les choix par défaut et les aventures pour notre avenir que représenteraient le retour de la gauche ou l’arrivée au pouvoir du Front National.
Partout dans les collectivités les élus UDI sont des alliés loyaux des Républicains, forgeant ainsi le socle de toutes les victoires électorales récentes. Nous sommes attachés à cette alliance, pour peu qu’elle soit fondée sur des valeurs et projets partagés et sur un respect mutuel.
Nous prenons acte du souhait de François FILLON, candidat légitime issu de la primaire, de poursuivre sa campagne et de la volonté qu’il a exprimé de prendre des initiatives de rassemblement en direction de l’UDI, comme des élus LR, qui avaient souhaité un changement de candidat. Pour ce qui concerne l’UDI, nous sommes en attente de ces initiatives annoncées.
L’UDI fondée par Jean Louis Borloo est une force politique indépendante porteuse de valeurs morales spécifiques et d’une vision humaniste et européenne qui fonde son identité.
L’UDI déplore les propos lamentables tenus à son égard depuis quelques jours et regrette que ceux-ci n’aient pas été publiquement dénoncés avec la plus grande fermeté ; tant dans une alliance le respect de chacun est indispensable.
En attendant que se concrétise la volonté de rassemblement affirmée par le candidat et les principaux responsables LR, le Bureau exécutif de l’UDI approuve l’accord électoral, examiné la semaine dernière par notre Commission Nationale d’Investitures, et qui était en passe d’être signé. Le Bureau exécutif de l’UDI valide le projet politique négocié pour la France avec François FILLON, tout en conservant un certain nombre de différences qui seront défendues par l’UDI lors de la prochaine législature.
Le Bureau exécutif réaffirme son soutien à l’action du Président de l’UDI, garant de l’unité du parti.